OLIVIA DUROX

Un blog d’articles de veille informationnelle.


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Dix ans après les attentats à Paris, Charlie Hebdo se dit « increvable » – The Media Leader FR

Dix ans après l’attentat jihadiste qui a frappé Charlie Hebdo, le journal satirique français réaffirme sa mission et son esprit indomptable. Dans un numéro spécial publié pour cet anniversaire, Charlie Hebdo proclame son inlassable détermination à défendre la satire et la liberté d’expression, avec comme mot d’ordre : « L’envie de rire ne disparaîtra jamais ! »

Ce numéro spécial, de 32 pages, met à l’honneur 40 caricatures réunies sous le thème #RiredeDieu,sélectionnées parmi un concours international lancé fin 2024. Ces œuvres illustrent la résistance face aux emprises religieuses sur la liberté.

Charlie Hebdo rappelle également que ses valeurs – humour, liberté d’expression, écologie, féminisme, laïcité – sont aujourd’hui plus que jamais remises en question, reflet d’une démocratie menacée par des forces obscurantistes.

L’attentat du 7 janvier 2015, qui a coûté la vie à 12 personnes, dont huit membres de la rédaction, reste gravé dans la mémoire collective. Parmi les victimes figuraient les dessinateurs emblématiques Cabu, Charb, Wolinski, Tignous et Honoré, ainsi que d’autres figures marquantes comme l’économiste Bernard Maris et la psychanalyste Elsa Cayat.

L’édition spéciale de Charlie Hebdo coïncide avec une prise de parole forte du président Macron, qui a appelé à poursuivre la lutte contre le terrorisme « sans relâche ».

L’attentat de 2015 avait suscité une vague d’émotion mondiale et donné naissance au slogan « Je suis Charlie », symbole de soutien à la liberté d’expression. Dix ans plus tard, cet esprit persiste, comme en témoigne une récente étude de l’institut Ifop. Selon celle-ci, 76 % des Français considèrent la liberté d’expression comme un droit fondamental, et 62 % défendent le droit de critiquer même de manière outrancière les croyances ou symboles religieux.

Charlie Hebdo reste, malgré les épreuves, un emblème de la satire et de la résistance aux pressions idéologiques. À travers ses dessins et ses mots, le journal montre qu’en dépit des menaces, le rire demeure une forme inaltérable d’optimisme et de courage.

Avec l’essor des réseaux sociaux comme lieux majeurs d’expression publique, la liberté d’expression fait face à des enjeux complexes alliant droits fondamentaux, responsabilités et régulation.

La liberté d’expression à la « Une » de La Dépêche du Midi : « Le lecteur peut voir l’horizon grâce à l’information » – ladepeche.fr

Le 7 janvier 2025, pour marquer les 10 ans de l’attentat contre Charlie Hebdo, La Dépêche du Midi a consacré une édition spéciale à la liberté d’expression. En couverture, un dessin poignant de Thierry Dedieu, sans texte, rend hommage aux victimes et célèbre les valeurs de liberté et d’indépendance de la presse.

L’illustration, pleine page, contraste un mur gris oppressant avec un paysage lumineux, symbolisant la mission du journalisme : éclairer et révéler la vérité. Dedieu, invité au 13 Heures de France Inter, a expliqué la portée de ce visuel, affirmant l’importance de continuer à informer pour contrer les entraves à la liberté d’expression et à l’information.

La liberté d’expression à l’ère des réseaux sociaux : entre droits fondamentaux et responsabilités numériques – Actualités Juridiques

La liberté d’expression, inscrite dans des textes fondamentaux comme l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ou l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme, connaît de nouvelles déclinaisons dans l’espace numérique. En France, la loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN, 2004) établit la responsabilité limitée des hébergeurs, exigeant qu’ils retirent rapidement les contenus manifestement illicites.

Des mesures plus récentes, comme la loi Avia (2020), renforcent la lutte contre les contenus haineux, bien que leur application soulève des débats sur le respect des libertés. Sur le plan européen, le Digital Services Act (DSA, 2022) impose des obligations accrues aux grandes plateformes, notamment en matière de modération et de transparence.

En ligne comme hors ligne, la liberté d’expression s’arrête là où commencent la diffamation, l’injure ou l’incitation à la haine. Les lois, comme celle de 1881 sur la liberté de la presse, encadrent ces abus, complétées par des dispositions spécifiques du Code pénal, telles que la lutte contre l’apologie du terrorisme. La jurisprudence joue un rôle clé dans l’équilibre entre liberté d’expression et protection des droits, ajustant les principes en fonction des litiges.

Les plateformes numériques, en tant que modérateurs, sont confrontées à un double défi : garantir la liberté d’expression tout en combattant les abus. Le DSA impose des processus de modération plus rigoureux, mais la question de la légitimité de ces plateformes à juger du caractère licite des contenus persiste.

Des initiatives comme le Conseil de surveillance de Facebook tentent d’instaurer une régulation indépendante, mais elles suscitent des interrogations sur leur efficacité et leur impartialité. L’utilisation croissante de l’intelligence artificielle dans la modération ajoute un volet éthique au débat, avec des risques d’arbitraire ou d’erreurs.

La nature globale des réseaux sociaux complexifie la régulation. Les lois nationales peuvent entrer en conflit, et la question de l’extraterritorialité reste épineuse. L’Union européenne, par des textes comme le RGPD ou le DSA, influence néanmoins les pratiques à l’échelle mondiale.

Des initiatives de coopération internationale, comme l’Internet Forum de l’UE, visent à coordonner les efforts contre les contenus illicites, en particulier dans la lutte contre le terrorisme et la désinformation.

L’évolution des technologies, de l’intelligence artificielle au métavers, redéfinit les contours de la liberté d’expression. Le développement d’espaces virtuels et l’émergence de défis comme la désinformation ou les fake news nécessitent des cadres juridiques adaptés. Par ailleurs, la littératie numérique et l’éducation aux médias deviennent cruciales pour permettre aux citoyens d’exercer leurs droits en ligne de manière éclairée.

À l’ère des réseaux sociaux, la liberté d’expression se trouve au croisement de tensions entre innovation technologique, encadrement juridique et responsabilités éthiques. Trouver un équilibre entre droits fondamentaux et régulation adaptée est un défi permanent, mais essentiel pour préserver un espace numérique respectueux et inclusif.

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