Sommes nous rendu à un tel point de désinformation, que celle ci vient faire de l’ombre à l’information?

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Lutter contre la désinformation est désormais au cour des préocupations Francaise.

The Media Leader Fr est une référence incontournable de l’information en France, elle permet d’ informe sur les actualités le marketing, et les études et médias du moment. Elle publie un rapport, un résumer d’une études , d’un projet nommée SIMODS, coordonné par l’association Science feedback.Ce projet vise à développer des indicateurs afin de mesurer la désinformation en lignes sur diverses plateformes et dans divers pays.

L’article paru par The Media Leader fait la synthèse des résultats de projet SIMODS, concernant donc les publications fausses ou trompeuses , voir complotistes.Les chiffres que révèlent ce rapport sont alarmant près d’une publication sur cinq (20%) sur TikTok portant sur un sujet d’intérêt public s’avère fausse ou trompeuse. . D’après une etude sur les consommations numérique des jeunes ,de Qustodio, publiée en janvier 2024 la tranche d’age des 4 à 18 ans ont une utilisation massive des réseaux sociaux , 50 % des 4-18 ans consomment  » régulièrement » du contenue sur tik-tok.Quand a X c’est 32% de contenus qui comportent de la désinformation ou du discours toxique.

Il est donc légitime de se demander si ce type de platforme sont t-elles dangereuses pour des individus en quête d’identité et de recherche de soi, lorsqu’autant de désinformation est à leurs porter ?

L’étude a révéler que certaines plateforme tel que linkedin ne sont pas infester de fausses information : seuls 2% des contenus étudiés sont jugés trompeurs. Linkedink est présenter dans cet article comme une preuve ,un autre modèle existant , montrant que les plateformes ne sont pas toutes mensongères.
Ce phénomène de désinformation qui, après avoir conquis les principaux réseaux sociaux, prolifère également sur LinkedIn ce que n’a pas vraiment été mit en lumière lors de l’étude publier The Media Leader.
En effet les chiffres du blog ereputation ,qui n’est autre qu’un blog ayant pour objectif de commenter l’actualité de l’e-Reputation et des réseaux sociaux, ont montrée que ce site était également soumis à des fakes news d’une grande empleur .Bien entendu celle ci ne sont pas du même ordre que celles que nous pouvons retrouver sur tik-tok ou autres réseaux sociaux étant donnée que Linkedin , est principalement un réseau social pour les professionnels souhaitant partager leurs activités professionnelles.C’est pourquoi sur Linkedin les chances de tomber sur une fake news ciblant le grand public sont moindre. Cela n’exclut cependant pas que LinkedIn soit aussi touché par d’autres type de fausses informations tel que » des fake news professionnelles, des annonces d’emplois fictifs, des certifications inventées, ou encore contenus prétendument “experts” générés par IA… »Comme l’ énonce Frederic Foschiani dans un article du blog ereputation de 2025 « les signalements liés à la désinformation ont augmenté de 25 % en Europe au premier semestre 2025 » pour Linkedin.
En effet Linkedin , paraisant au première abord plus serieux et professionnel est quand à lui également sujet aux fakes news.

Au finale, existe- il une plateforme , un réseau sociaux qui ne serait toucher de manière récurante par de fakes news ?


Mémo sur la légitimité de la première étude :
La méthodologie utiliser lors l’étude SIMODS, permet de montrer que celle ci est fidèle et fiable à la réalité , par son grand échantillon d’études ; soit une analyse de 2,6 millions de publications totalisant près de 24 milliards de vues, au seins de six grandes plateformes (Facebook, Instagram, LinkedIn, TikTok, X/Twitter et YouTube). Les contenus analyser portaient sur cinq thématiques à fort enjeu public : la guerre en Ukraine, le climat, la santé, la migration et la politique nationale.
Chaque publication a par la suite été minutieusement évaluée par des Fact-checkers professionnels européens ( qui ne sont autres que des traqueurs de fakes news) , en respectant des protocoles transparents et reproductibles strictes .

Or nous ne pouvons résumer ces données à l’échelle de la population mondial .En effets cette études a été réaliser dans pays européens représentatifs : la France, l’Espagne, la Pologne et la Slovaquie.L’objet de cette etude reste Eurocentrée et c’est pourquoi nous ne pouvons faire une généralité de cette études comme étant la tendances mondial de consommation de contenue numérique.


lien de l’article https://www.inoreader.com/article/3a9c6e774aac96b6-tiktok-et-x-en-premiere-ligne-de-la-desinformation-en-europe-selon-un-rapport

Une réponse

  1. Salut.
    Bonne présentation de l’article de l’étude et de la méthode.
    je pense par contre que tu aurais pu elargir un peu ton analyse en confrontant l’étude citée par the medialeader a d’autres études ou analyse

    Par exemple, y a une question que je me poserai face à une limite de l’étude. On i parle de « désinformation » en axant sur l’actu généraliste pour le grand public.

    De fait par sa nature LinkedIn (qui est plutôt un réseau social pour les professionnels qui parlent de leurs activités professionnelles » on a moins de chance de tomber sur une fake news ciblant le grand public.

    Cela n’exclut cependant pas que LinkedIn soit aussi touché par de fausse information.

    Il le reconnaissent eu même en début d’année 2025 dans une étude parlant de leur système de modération. Celle ci est raporté dans le podcast de du chroniqueur social média de BFM Frédéric Foschiani https://blog-ereputation.com/2025/09/17/linkedin-desinformation-et-autres-derives-infiltrent-le-reseau-des-pros/.

    mais effectivement tu as raison, il y a a encore du boulot en terme de fiabilité de l’info.

    une remarque un peu plus technique, quand tu partage le lien d’un article, plutôt que mettre un lien sur l’article dans inoreader comme par exemple : https://www.inoreader.com/article/3a9c6e774aac96b6-tiktok-et-x-en-premiere-ligne-de-la-desinformation-en-europe-selon-un-rapport

    peux tu lutôt mettre un lien ves l’article d’origine, par exemple : https://fr.themedialeader.com/tiktok-et-x-en-premiere-ligne-de-la-desinformation-en-europe-selon-un-rapport/

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