Aujourd’hui, j’ai décidé de vous présenter un article encore issu du site Creapills, rédigé par Justine M, le 9 octobre 2024. Je me suis intéressé à cet article car le titre « Les prédateurs sexuels vous disent merci” : une campagne choc à destination des parents ma littéralement donné envie de voir comment été tourné la campagne sur ce sujet très important.
Dans cet article, on parle d’une initiative de l’association Caméléon et de l’agence LIBRE MullenLowe ,visant à sensibiliser les parents sur les dangers associés au partage de photos d’enfants sur les réseaux sociaux, un phénomène appelé « sharenting ». Le clip de la campagne met en avant les risques auxquels les enfants peuvent être exposés, en raison des images et des informations personnelles publiées: les habitudes ou les lieux qu’il fréquente par leurs parents, en particulier concernant l’attirance des prédateurs sexuels (un parent français sur deux a déjà partagé des photos de ses enfants sur internet, souvent dès leur naissance, un danger que beaucoup ignorent alors que 40% des personnes ayant consulté du contenu pédocriminel cherchent ensuite à entrer en contact avec des enfants). Le but est de faire prendre conscience aux parents que la sécurité en ligne de leurs enfants est essentielle.
L’article nous propose en plus d’autres campagnes déjà réalisées grâce à des caméras cachées pour nous sensibiliser :
– le film choc de Deutsche Telekom
Ainsi que: – la campagne de In Real Life
Dans cet article, j’ai pu trouver des thèmes importants :
–La vie privée et le consentement parental que je ne vais malheureusement pas développer.
–La sécurité des enfants en ligne que je ne vais malheureusement pas développer non plus.
–La sensibilisation et prévention: Comment les campagnes comme celle de l’association Caméléon vise-t-elle à sensibiliser les parents à ces dangers ? Quels sont les risques associés à la diffusion d’images d’enfants sur les réseaux sociaux ? que je vais développer en formulant deux hypothèses
La perception des risques
Il est courant de voir des parents partager des photos de leurs enfants sur les réseaux sociaux (Facebook/Instagram). Mais beaucoup d’entre eux ne réalisent pas vraiment les risques associés à ces publications, ils sous-estiment souvent les dangers liés à leurs actions.
Premièrement, une fois qu’une photo est mise en ligne, elle peut être récupérée et utilisée de manière inappropriée (risque 1): pédopornographie. Il faut y rester vigilant. C’est pour cela que l’association e-Enfance se consacre à la protection des enfants sur Internet. Elle offre des conseils aux parents sur les dangers en ligne et comment protéger leurs enfants. Il est très important que les parents prennent le temps de s’informer sur les risques qu’ils peuvent rencontrer.
Deuxièmement, un autre aspect à prendre en compte est la traçabilité des images. Une fois publiées, ces photos peuvent rester accessibles indéfiniment (risque 3). Cela peut avoir des conséquences pour les enfants lorsqu’ils grandissent. Ils pourraient se retrouver confrontés à des images de leur enfance qu’ils n’ont pas choisi de partager, ce qui peut nuire à leur vie privée et l’apparition de cyberharcèlement. La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) fournit aussi des ressources pour aider à protéger les données personnelles des enfants et souligner l’importance d’un partage responsable.
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En résumé, il est crucial que les parents réalisent les risques liés à la diffusion d’images de leurs enfants sur les réseaux sociaux. Selon l’étude d’AXA prévention, basée sur les données de la CNIL, il est important d’adopter des bonnes pratiques pour préserver la sécurité des enfants et d’assurer leur bien-être à long terme.
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