Blog

  • Vivre ou revivre 2024 : une année intense en 4 minutes d’émotion

    Vivre ou revivre 2024 : une année intense en 4 minutes d’émotion

    J’ai décidé de vous présenter un article encore issu du site Creapills, rédigé par Justine M. le 31 décembre 2024, qui nous fait découvrir une vidéo 2024 – Year in Review réalisée par Cee-Roo, alias Cyril Käppeli. Ce type de travail artistique m’interpelle, car il permet de repenser l’actualité avec un regard à la fois critique et émotionnel. Je pense qu’il faudrait que chaque être humain voie cette vidéo. Que par exemple, vous nous le passiez en classe pendant l’un de vos cours et qu’on en parle ensuite.

    Autrement, parlons de la capacité qu’a Cee-Roo à transformer des événements et actualités politiques, sociales, environnementales et culturelles marquantes en une œuvre audiovisuelle poignante. À travers une succession d’images et une bande-son originale créée par lui-même, il nous offre un résumé puissant de l’année, mettant en avant les hauts et les bas de 2024.

    Dans cet article, les thèmes suivent son important :

    – La valorisation de l’émotion dans l’actualité

    -La communication universelle grâce à l’audiovisuel


    La valorisation de l’émotion dans l’actualité

    Le premier thème s’intéresse à l’impact émotionnel. Cee-Roo réussit à créer un lien fort entre les spectateurs et les événements importants de l’année. Chaque séquence de la vidéo associe des images fortes à une musique soigneusement composée, renforçant l’effet immersif. Effectivement, comme Guylaine Gueraud-Pinet, l’a écrit dans son étude: l’impact de la musique et du son dans les productions audiovisuelles, sont essentiel et permettent la transmission d’émotion (dans son cas par la télévision). Sur la vidéo, on passe de scènes de catastrophes naturelles très dures à des moments de succès collectif, et chaque image est là pour en plus du son provoquer encore plus d’émotions comme l’empathie, l’espoir, la colère ou l’admiration.

    Prenons l’exemple des inondations en Europe, où les images de sauvetages courageux accompagnées d’une musique mélancolique mais qui donne aussi de l’espoir. Cela permet aux spectateurs de s’identifier aux personnes et de mieux appréhender l’ampleur et la gravité des événements. Ce type de storytelling émotionnelle transforme une simple rétrospective en une expérience marquante, en montrant combien il est important d’apporter une touche humaine dans la façon de raconter/communiquer l’actualité.


    La communication universelle grâce à l’audiovisuel

    Le deuxième thème parle de l’importance de la vidéo comme moyen de communication universel. Contrairement à un article de presse ou à une émission télévisée, la rétrospective de Cee-Roo dépasse les différences de langues et de cultures. Les images et la musique forment un langage universel qui touche directement les émotions, rendant l’œuvre accessible à un public mondial.

    Cette approche montre également la puissance de l’audiovisuel pour résumé une année d’événements complexes en quelques minutes. En simplifiant l’information, la vidéo devient un outil de sensibilisation efficace. De plus, elle encourage une réflexion collective : les spectateurs ne se contentent pas de consommer l’actualité, ils sont invités à y réfléchir, à en discuter et à agir. En effet, on peut s’appuyer sur l’étude de Marie-France Chambat-Houillon, qui nous explique comment les images audiovisuelles influencent les perceptions et modifient les représentations sociales des individus, soulignant le rôle de l’audiovisuel dans la communication universelle.

    En conclusion, la vidéo « 2024 – Year in Review » de Cee-Roo dépasse le simple reportage pour devenir une œuvre d’art communicative. En valorisant l’émotion et en adoptant un langage audiovisuel universel, elle illustre le potentiel de la communication servant à éduquer et sensibiliser un public global. Cette démarche artistique, à la fois esthétique et engagée, montre qu’il est important de revoir l’actualité avec un regard humain, qui peut faire réfléchir tout le monde. Cette rétrospective n’est pas juste un résumé de l’année, c’est aussi une invitation à penser à nos actions et aux leçons à apprendre pour le futur.

  • Émojis : le langage des jeunes ou le cauchemar des aînés ?

    Émojis : le langage des jeunes ou le cauchemar des aînés ?

    Les émojis, symboles d’incompréhension entre générations : un enjeu pour la communication

    J’ai décidé de vous présenter un article issu du site Blog du Modérateur, rédigé par Appoline Reisacher, le 24 octobre 2024. Je me suis intéressé à cet article car j’ai déjà débattu avec ma mère sur le sujet des émojis perçu différemment entre générations.

    Pour contextualiser l’article, les émojis, apparus dans les années 1990 au Japon, ont rapidement gagné en popularité dans le monde entier. Utilisés pour exprimer des émotions, ils représentent aujourd’hui un pilier de la communication digitale. Cependant, les émojis posent un problème : loin d’être universels, ils donnent lieu à des incompréhensions importantes entre les générations.

    Une étude menée par le site montre que certains émojis, perçus comme anodins par les jeunes, peuvent être interprétés de manière très différente par les générations plus âgées. Par exemple, l’émoji « 🥲 » (visage avec une larme) est souvent utilisé pour exprimer de la tendresse par les jeunes, mais peut être interprété comme une tristesse par les plus âgés.


    Dans cet article, j’ai pu trouver deux thèmes importants :

    Le décalage générationnel : quand un émoji divise

    Un défi pour la communication intergénérationnelle

    Le décalage générationnel : quand un émoji divise

    Le premier thème porte sur l’incompréhension qui s’étend au-delà de simples malentendus. Les jeunes et les adultes attribuent souvent des significations opposées aux mêmes symboles. Selon l’article Zagla, les plus jeunes utilisent régulièrement des émojis pour exprimer des nuances et des émotions subtiles, alors que les générations plus âgées adoptent un usage plus littéral comme le dit l’article d’Orange. Par exemple, l’emoji « 💀 » (tête de mort), qui signifie « mort de rire » pour les jeunes, peut sembler morbide aux adultes.

    Ce décalage pose un réel défi pour les communicants. Dans un monde où la rapidité et l’efficacité sont importantes, ce genre de malentendu peut affecter l’interprétation des messages, voire leur réception, selon une étude menée par Adobe. Les marques, par exemple, qui souhaitent s’adresser à un public varié (comme dit dans l’article, les émojis sont utilisés par tous et dans toutes les catégories d’âge), doivent prendre en compte ces différences pour éviter de mal cibler leur audience.


    Un défi pour la communication intergénérationnelle

    Le second thème s’oriente vers les différences d’interprétation des émojis qui révèlent un vrai problème dans la communication intergénérationnelle. Pour les jeunes, ces symboles sont des codes partagés, qui facilitent la complicité et le lien social (selon cette étude). À l’inverse, pour les générations plus âgées, ces mêmes émojis peuvent être source de confusion. Les communicants et les entreprises doivent alors adapter leur approche en fonction de l’âge de leur audience, comme le dit cet article.

    En conclusion, le décalage générationnel dans la compréhension des émojis révèle un vrai défi pour la communication aujourd’hui. Les jeunes voient ces symboles comme des moyens d’exprimer des émotions et de créer des liens, tandis que les adultes peuvent les interpréter de manière plus littérale et parfois déroutante. Cela montre à quel point il est important pour les communicateurs d’adapter leur approche en fonction des différentes générations. Pour que les messages passent bien, il est essentiel de prendre en compte ces différences et d’éviter les malentendus qui pourraient affecter la façon dont les gens reçoivent l’information.

  • Protégez vos enfants des prédateurs en ligne : une campagne qui secoue les consciences

    Protégez vos enfants des prédateurs en ligne : une campagne qui secoue les consciences

    Aujourd’hui, j’ai décidé de vous présenter un article encore issu du site Creapills, rédigé par Justine M, le 9 octobre 2024. Je me suis intéressé à cet article car le titre « Les prédateurs sexuels vous disent merci” : une campagne choc à destination des parents ma littéralement donné envie de voir comment été tourné la campagne sur ce sujet très important.

    Dans cet article, on parle d’une initiative de l’association Caméléon et de l’agence LIBRE MullenLowe ,visant à sensibiliser les parents sur les dangers associés au partage de photos d’enfants sur les réseaux sociaux, un phénomène appelé « sharenting ». Le clip de la campagne met en avant les risques auxquels les enfants peuvent être exposés, en raison des images et des informations personnelles publiées: les habitudes ou les lieux qu’il fréquente par leurs parents, en particulier concernant l’attirance des prédateurs sexuels (un parent français sur deux a déjà partagé des photos de ses enfants sur internet, souvent dès leur naissance, un danger que beaucoup ignorent alors que 40% des personnes ayant consulté du contenu pédocriminel cherchent ensuite à entrer en contact avec des enfants). Le but est de faire prendre conscience aux parents que la sécurité en ligne de leurs enfants est essentielle.

    L’article nous propose en plus d’autres campagnes déjà réalisées grâce à des caméras cachées pour nous sensibiliser :

    le film choc de Deutsche Telekom

    Ainsi que: – la campagne de In Real Life


    Dans cet article, j’ai pu trouver des thèmes importants :

    La vie privée et le consentement parental que je ne vais malheureusement pas développer.

    La sécurité des enfants en ligne que je ne vais malheureusement pas développer non plus.

    La sensibilisation et prévention: Comment les campagnes comme celle de l’association Caméléon vise-t-elle à sensibiliser les parents à ces dangers ? Quels sont les risques associés à la diffusion d’images d’enfants sur les réseaux sociaux ? que je vais développer en formulant deux hypothèses

    La perception des risques

    Il est courant de voir des parents partager des photos de leurs enfants sur les réseaux sociaux (Facebook/Instagram). Mais beaucoup d’entre eux ne réalisent pas vraiment les risques associés à ces publications, ils sous-estiment souvent les dangers liés à leurs actions.

    Premièrement, une fois qu’une photo est mise en ligne, elle peut être récupérée et utilisée de manière inappropriée (risque 1): pédopornographie. Il faut y rester vigilant. C’est pour cela que l’association e-Enfance se consacre à la protection des enfants sur Internet. Elle offre des conseils aux parents sur les dangers en ligne et comment protéger leurs enfants. Il est très important que les parents prennent le temps de s’informer sur les risques qu’ils peuvent rencontrer.

    Deuxièmement, un autre aspect à prendre en compte est la traçabilité des images. Une fois publiées, ces photos peuvent rester accessibles indéfiniment (risque 3). Cela peut avoir des conséquences pour les enfants lorsqu’ils grandissent. Ils pourraient se retrouver confrontés à des images de leur enfance qu’ils n’ont pas choisi de partager, ce qui peut nuire à leur vie privée et l’apparition de cyberharcèlement. La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) fournit aussi des ressources pour aider à protéger les données personnelles des enfants et souligner l’importance d’un partage responsable.

    • Pour un point culture: voici l’histoire du bébé sur la pochette Nirvana par Ouest-France

    En résumé, il est crucial que les parents réalisent les risques liés à la diffusion d’images de leurs enfants sur les réseaux sociaux. Selon l’étude d’AXA prévention, basée sur les données de la CNIL, il est important d’adopter des bonnes pratiques pour préserver la sécurité des enfants et d’assurer leur bien-être à long terme.

  • L’art d’écrire avec style

    L’art d’écrire avec style

    La marque iconique de papeterie Stabilo se réinvente en collaborant avec les maîtres de la haute couture italienne Dolce & Gabbana pour transformer un outil quotidien en véritable accessoire de raffinement


    Comment une collaboration inattendue pourrait-elle influencer l’image de la papeterie dans l’esprit des consommateurs ? Quel rôle joue le storytelling autour de cette édition limitée pour renforcer l’attrait de la collection ? Enfin, comment le design contribue-t-il à véhiculer un message de « sophistication », transformant un objet quotidien en accessoire de mode exclusif ?


    J’ai décidé de vous présenter un article issu du site Creapills, rédigé par Justine M, le 4 octobre 2024. Ce site propose des inventions créatives, des projets insolites et des campagnes publicitaires originales venant du monde entier dans le domaine de la publicité et du marketing.

    J’ai choisi cet article car son titre m’a immédiatement interpellé en mentionnant deux marques que je connais bien : Stabilo et Dolce & Gabbana. J’ai donc commencer une lecture plus approfondie de l’article, car il nous expose la campagne marketing du produit, ce qui m’a encore plus captivé.

    Présentation de la collaboration

    En effet, comme énoncé précédemment, l’article évoque la marque de fournitures de bureau Stabilo qui s’est associée à la marque de luxe italienne Dolce & Gabbana afin de concevoir une collection limitée et haute en couleur de 4 surligneurs. Elles les ont personnalisés par des noms selon leurs packagings ornés de célèbres imprimés:

    Carretto Siciliano
    Blu Mediterraneo
    Félin Leo
    Zebra

    Bien entendu, après avoir décrit les stabilos, les marques ajoutent le lien pour inciter à l’achat en indiquant « disponible sur la boutique de Stabilo » ou Amazon

    Difficultés de réinventions de Stabilo

    Par la suite, elles abordent les problèmes auxquels a été confrontée Stabilo, une marque fondée en 1855. Malgré son succès, elle a également rencontré plusieurs difficultés en raison de sa réinvention face aux évolutions du marché et aux attentes des consommateurs (basée sur cette étude)

    Tout d’abord, abordons la question de la concurrence dans le secteur des fournitures de bureau et d’écriture. Les consommateurs ont commencé à être séduits par de nouvelles marques avec des designs plus modernes. Également concernant les évolutions des attentes des consommateurs, ils attendent des produits esthétiques et des valeurs éthiques. Il a fallu que la marque s’ajuste à cette tendance en créant des designs contemporains/ modernes. En outre, elle possédait une image vieillissante, qualifiée de « démodée » par les jeunes générations. Cette vision a dû obligé Stabilo à revoir son identité visuelle et de ses campagnes marketing pour attirer un public plus large et plus diversifié.

    Enfin aujourd’hui, la collaboration à permis d’attiré l’attention d’un public nouveau en quête d’originalité, ce qui a donné à la marque la possibilité de se réinventer et de surmonter ces difficultés.

    La campagne marketing

    Ensuite, l’accent est mis sur la campagne marketing originale qu’ont choisie les marques: autour des FOOH ( Fake Out of Home: un concept novateur qui crée l’illusion d’une campagne publicitaire extérieure qui n’existe pas physiquement dans le monde réel). Ce choix permet de la rendre plus ludique, on y voit des surligneurs géants “stabilotant” les rues de Milan.

    Puis, les marques ont tout de même choisi de mettre en place un kiosque temporaire dans le quartier de Corso Venezia afin de mettre en valeur cette collaboration insolite.

    Ouverture critique de la collaboration

    Je me suis donc interrogé sur la possibilité que d’autres sites de communication en aient publié des articles. Après avoir consulté J’ai un pote dans la com qui eux sont parti sur une approche plus humoristique, mettant en avant l’aspect ludique de la collection et mettant en évidence l’originalité de cette association inattendue tandis que pour Creapills se concentre sur les détails (packaging), mettant l’accent sur l’évolution de la marque Stabilo et souligner l’impact marketing de cette collaboration.

    Enfin, j’ai cherché des critiques de cette collaboration sur d’autres sites en dehors du domaine de la communication. J’ai alors découvert sur le site anglais Trend Hunter que pour Dolce & Gabbana s’associer avec des marques grand public tel que Stabilo pourrait compromettre l’exclusivité de la mode de luxe et entraîner des problèmes de perception de la marque​. Puis, selon eux, la collaboration semble plutôt se concentrer sur le marketing et l’accroissement de la visibilité de la marque plutôt que sur une véritable innovation produit ou artistique, ce qui est dommage.


    Finalement, la collaboration inattendue entre Stabilo et Dolce & Gabbana réinvente l’image de la papeterie en suscitant un sentiment de prestige et d’exclusivité. Grâce à un storytelling centré sur l’unicité et un design sophistiqué, apportant une touche de luxe à un objet fonctionnel, affirmant ainsi l’audace et l’élégance de cette collection, désormais perçue comme un véritable accessoire de mode.


    Avis

    Toutefois, la lecture de ces articles m’a permis d’acquérir de nouvelles connaissances : la créativité sous diverses formes est essentielle, que ce soit dans le domaine de l’art, du design ou de la technologie, et qu’une campagne de communication est essentiel pour se démarquer tant qu’elle est bénéfique pour la/les marques.

  • KFC transforme ses buckets en objets collector avec des vinyles festifs

    KFC transforme ses buckets en objets collector avec des vinyles festifs

    J’ai décidé de vous présenter un article issu du site Creapills, rédigé par Justine M, le 10 décembre 2024. Cet article m’a attirée par rapport à l’originalité du concept, l’idée de fusionner un objet du quotidien avec un disque vinyle est inattendue.

    Cet article nous parle du lancement d’une initiative créative de la part de KFC en transformant les couvercles de ses buckets en vinyles à thème de Noël. Cette approche créative mêle innovation marketing et tradition musicale.

    Dans cet article, deux grands thèmes ressortent :

    – L’innovation marketing : une collaboration créative

    -L’utilisation de la nostalgie et de l’expérience immersive

    L’innovation marketing: une collaboration créative

    Le premier thème de cette analyse aborde la créativité et l’audace de KFC. En transformant les couvercles de ses buckets en vinyles, la marque capte l’attention en offrant un produit unique. Cette initiative, qui dépasse le simple concept de publicité traditionnelle, génère un buzz et suscite l’engagement sur les réseaux sociaux (TikTok). Effectivement, comme on peut le lire dans cet article, les campagnes innovantes suivent des méthodes précises qui permettent de capter les consommateurs. Ainsi, en collaborant avec des artistes pour concevoir des designs uniques, KFC renforce son identité visuelle. Cette démarche contribue à positionner la marque comme un acteur innovant, tout en valorisant la créativité des artistes partenaires.


    L’utilisation de la nostalgie et de l’expérience immersive

    Le deuxième thème, s’inscrit directement dans la stratégie de communication de KFC. En faisant référence à la musique des années 60 et à l’esprit des fêtes, la marque parvient à établir une connexion émotionnelle profonde avec ses consommateurs. Cette approche va au-delà de la simple publicité en créant une expérience immersive où le vinyle, devient un objet collector qui associe la nourriture à la musique, stimulant ainsi à la fois les souvenirs et les émotions. Comme, le dit cet article, les émotions peuvent considérablement influencer le comportement d’achat des consommateurs, ce qui est positif pour KFC. Cette utilisation de la nostalgie dans la communication permet à KFC de s’appuyer sur des éléments culturels qui touchent les consommateurs. En plus, selon une ancienne étude de EDinstitut, les campagnes engageantes qui utilisent des éléments culturels ou nostalgiques augmentent de 23 % les retombées médiatiques par rapport aux campagnes conventionnelles. Ces initiatives marquent les esprits et renforcent la perception positive des marques auprès du public.

    En conclusion, la stratégie de communication de KFC mêle innovation marketing et collaboration créative pour captiver les consommateurs. La marque se distingue et génère un fort engagement sur les réseaux sociaux. L’utilisation de la nostalgie et de l’expérience immersive renforce cette approche, en créant une connexion émotionnelle avec le public à travers la musique et l’esprit des fêtes. Cette stratégie permet à KFC de se différencier et de tisser des liens durables avec ses consommateurs.

  • Rendre visible l’invisible

    Rendre visible l’invisible

    Repenser les étiquettes pour rendre hommage à ceux dont le travail reste dans l’ombre : les ouvriers invisibles.

    Je me suis orienté sur cet article issu du site Creapills, rédigé par Luna De Smet, le 22 novembre 2024. L’article m’a intéressé pour plusieurs raisons. La première est qu’en étant sur mon feed LinkedIn, l’actualité est apparue comme publicité, je m’y suis alors rendu pour la lire. Deuxièmement, ce type de sujet est important. On l’a remarqué depuis maintenant quelques années, la fast-fashion fait travailler les Ouïghours dans des conditions atroces. Alors, si les marques qui ne le font pas peuvent faire des initiatives comme celle présentée dans l’article, je pense qu’il faut le mettre en avant.

    Pour débuter, parlons de la mode qui est souvent perçue comme une industrie où l’on ne réfléchit pas à l’origine des produits que l’on achète. Pourtant, une initiative inédite a récemment été développée pour humaniser ce secteur, grâce à la marque : Los Angeles Apparel qui a décidé d’ajouter des portraits/biographies de ses ouvriers employés sur les étiquettes de ses vêtements.


    Dans cet article, j’ai découvert deux thèmes importants :

    – L’humanisation du processus de fabrication

    – La communication éthique et responsable

    L’humanisation du processus de fabrication

    Le premier thème aborde l’initiative en elle-même. En effet, Los Angeles Apparel transforme les simples étiquettes de vêtements en un outil puissant de communication. Plutôt que de se limiter à des informations pratiques comme la taille ou les instructions de lavage, l’étiquette devient une partie de la vie quotidienne des employés. Chaque vêtement porte désormais l’image et la biographie d’un d’eux, qu’il soit couturier, superviseur ou autre. Grâce à cette approche, la marque rend son processus de fabrication plus humain et offre au consommateur la possibilité de découvrir les histoires personnelles de ceux qui ont participé à la création du produit.

    Ces portraits, comme celui de Santos, « employé multi-talentueux » passionné de peinture et de modelage d’argile, ou de Diego, « expert en couture » amateur d’enchiladas et supporter des Dodgers, créent une connexion émotionnelle avec le consommateur. Chaque vêtement devient alors le reflet d’une anecdote individuelle, renforçant l’idée que chaque pièce est le résultat d’un travail collectif et humain. La communication visuelle via ces étiquettes permet de dépasser le simple côté commercial afin de créer une relation plus intime et transparente entre le produit et son origine, ce que certains clients recherchent, pour appuyer cela, voici une étude révèle que 73 % des consommateurs sont prêts à payer plus pour des produits garantissant une transparence totale, liée ici aux étiquettes par la communication visuelle.


    La communication éthique et responsable

    Le second thème développe l’aspect plus communicatif. Effectivement, cette initiative de Los Angeles Apparel va au-delà de l’humanisation, dans une optique de transparence et de responsabilité sociale. La marque se démarque dans une industrie textile souvent critiquée pour son manque de clarté et les conditions de travail parfois précaires (comme nous l’explique cet article), en proposant une vision plus claire de ses pratiques. Les étiquettes sont devenues un outil de communication éthique, où l’on valorise le travail des employés tout en mettant en avant la diversité culturelle et professionnelle qui existe au sein de l’entreprise. Cette transparence permet aussi de susciter une réflexion sur les pratiques des entreprises de mode. Elle incite le consommateur à s’interroger non seulement sur la provenance de ses produits, mais aussi sur les conditions de travail de ceux qui les fabriquent. En utilisant ces étiquettes, la communication rappelle que la mode ne se limite pas à un simple produit de consommation, mais à un ensemble de choix éthiques qui influence la perception de l’entreprise (décrit dans cet article).

    En résumé, Los Angeles Apparel, en mettant l’accent sur l’humanisation de ses produits et en adoptant une communication éthique, dépasse le simple marketing : elle encourage à réfléchir sur notre façon de consommer la mode. La marque crée un lien émotionnel et transparent entre les consommateurs et les travailleurs en transformant les étiquettes en témoignages humains. Cette démarche encourage une consommation plus réfléchie, où l’importance accordée à l’individu et à la responsabilité sociale est centrale.

  • L’art contemporain : un dialogue silencieux à travers la peinture

    L’art contemporain : un dialogue silencieux à travers la peinture

    L’art de G.Lorca, un monde de rêves entre douceur et violence : un défi pour la communication visuelle

    J’ai choisi de vous présenter un article issu du site Beware Magazine, rédigé par Loranef, le 11 novembre 2024. Cet article m’a intéressé, car les œuvres de Guillermo Lorca m’ont interpellée.

    Pour commencer, Guillermo Lorca est un artiste chilien dont l’art raconte des histoires surréalistes et qui représente des scènes fantasmagoriques. Ses œuvres se situent entre le réel et l’imaginaire, où les animaux et les personnages vivent des scènes qui explore la tendresse, la violence, la beauté, la peur et l’affection. Mais ces scènes, loin d’être universelles dans leur interprétation, provoquent des réactions variées selon le vécu et la sensibilité de chaque spectateur.


    Dans cet article, deux grands thèmes ressortent :

    – L’interprétation personnelle : quand l’art signifie plusieurs choses différentes

    -Un défi pour la communication visuelle dans l’art contemporain

    L’interprétation personnelle : quand l’art signifie plusieurs choses différentes

    Le premier thème aborde la diversité des sens que peuvent prendre les œuvres de Lorca. Face à une scène chargée en émotions/ symboles, le spectateur est amené à l’interpréter en fonction de sa propre culture, de son expérience ou de son état d’esprit (comme vu dans l’article 3.3). Par exemple, un tableau où un animal semble protéger un enfant peut évoquer pour certains la douceur et la sécurité. Pour d’autres, cette même scène peut représenter le danger et la menace. Ce phénomène montre que l’art contemporain peut être perçu de manière opposée, selon le regard de chacun.

    Ce décalage est un défi pour l’artiste, qui en proposant une œuvre ouverte à interprétation, doit accepter que chaque personne y projette sa propre vision, quelle soit positive ou négative. Cette diversité de sens dans la compréhension d’une œuvre soulève une question importante pour la communication dans l’art : comment faire passer un message quand le sens n’est pas fixe mais change en fonction des gens ?


    Un défi pour la communication visuelle dans l’art contemporain

    Le second thème porte sur la complexité de la communication visuelle en art contemporain selon le problème des interprétations personnelles. Pour Lorca, ses tableaux sont comme des « codes partagés », des symboles qui transmettent des émotions que beaucoup de gens peuvent comprendre, mais qui ont aussi une part d’ambiguïté, laissant place à l’interprétation personnelle (1. de cette article). À l’inverse, pour certains spectateurs, cette ambiguïté peut créer de la confusion, voire du malaise, surtout concernant la violence. Cela montre combien il est important, pour les artistes, de comprendre que leurs œuvres peuvent être perçues de façon différente selon la sensibilité de chacun.

    En conclusion, l’art de Guillermo Lorca pose un vrai défi pour la communication visuelle aujourd’hui. Ses œuvres, pleines de mystère, montrent qu’il est essentiel pour les artistes et les communicants de prendre en compte la diversité des points de vue et des interprétations. Face à cela, il devient important de penser à la façon dont les œuvres sont perçues et aux échanges qu’elles peuvent provoquer, pour mieux communiquer à travers l’art et éviter les malentendus qui pourraient en changer la réception.