Beaucoup de personnes pensent que les jeunes sont désengagés, qu’ils ne participent plus à la vie citoyenne. Pourtant, ce n’est pas vrai. En effet, même si les jeunes ne s’engagent plus de la même manière que les générations précédentes, c’est-à-dire par le biais du vote, de manifestations ou de blocus, mais ils ont développé une nouvelle sorte d’engagement grâce à des médias qui ne cessent de devenir de plus en plus puissants, les réseaux sociaux. Grâce à une enquête menée par radio France en avril 2025, on se rend compte que les jeunes (les 18 – 30 ans notamment) s’informe sur la politique via les réseaux sociaux. Mais ce n’est pas la seule utilisation des réseaux sociaux pour défendre ces convictions et mené des combats, la signature de pétition en ligne est également grandement utilisé par la génération Z . Comme l’indique l’article, 40 % des 15-30 ans utilise cette manière pour communiquer leur mécontentement ou leur approbation à certaines causes. Mais ce n’est pas tout, un simple like sur Instagram, une republication de contenu sur TikTok, une story sur Snapchat ou un abonnement à un compte est également un acte engagé. En effet, ils montrent du soutien à des défenseurs, comme en s’abonnant à un compte féministe, ce qui permet plus de visibilité, lutte eux-mêmes contre les inégalités, avec le partage de vidéos qui montre des discriminations, ou même juste avec une simple photo, pour, entre autres, lutter contre le body shaming.
Les réseaux sociaux sont devenus aussi importants dans la médiatisation de combats que les chaînes télévisées et les radios.
Aujourd’hui, on ne descend plus dans les rues, on utilise son téléphone pour dénoncer, se faire entendre et s’engager, avec la communication sur les réseaux sociaux.
L’article de The Conversation est un bon choix pour s’intéresser au concept d’engagement politique chez les jeunes.
L’article de France Info est extrait d’un éditorial et est beaucoup plus critique (Patrick Cohen y remet beaucoup en cause le fait que les mobilisations en ligne soient un réel engagement en s’appuyant sur un article du cercle des économistes.).
Rosa Bortolotti dans the Conversation fait référence à une étude de l’INJEP ( https://injep.fr/publication/etat-desprit-et-engagement-des-jeunes-en-2025/) qui a mon avis illustre mieux son propos que la chronique de Cohen.
Une petite remarque sur la forme, plutôt que de coller les liens « bruts », tu devrais les intégrer comme liens sur les textes où tu y fais référence.
Bref, c’est plutôt intéressant, mais je ne suis pas sur que ton lien secondaire soit celui qui appuie le mieux ton raisonnement.